"CLASSICA" "Dans le Souffle des Ombres"
En exergue de ce très beau disque, on pourrait reprendre la citation d'Arvo Part qui affirmait à Classica (en novembre 1999) : « Jouer une. seule note de musique avec beauté est suffisant. C'est le mystère de la musique .. ». Dominique Vasseur semble en effet s'être fixé la même ligne de conduite quand il tresse de délicates trames sonores sur Silence du seuil ou Il Sogno . dell'Allodola.
Sa recherche sonore passe globalement par trois groupes d'instruments: les vents (flûte à bec, clarinette, doudouk ... ), les cordes (violon, violoncelle) et les percussions (toms, congas, cymbales ou piano ... ). On croit ainsi découvrir le portrait sonore d'un être qui vit avec respectivement son souffle, sa tessiture nerveuse et son rythme cardiaque. Un être qui passe par des stades de méditation ou d'excitation, de questionnement ou d'exaltation.
Bref, une entreprise passionnante qui justifie indirectement le refus de toute organisation pesante en dessinant de constantes lignes de brisures sur des progressions impressionnantes (Silence du seuil, Vacarme du deuil ... ). On pense au Lux AEterna de Ligeti ou à certaines progressions « obliques» de Philippe Hersant. Nocturne aux anges est à ce titre remarquable, dévoilant une sorte de clairière sonore où l'on déniche un à un les instruments qui s'y logent. Mention aussi à Audi Coelum, lent bourdon hypnotisant utilisant bouteilles et casseroles en cuivre (!), manière d'affirmer sans doute que la beauté de la musique peut vraiment s'exprimer par tous les moyens ... Un disque qui possède déjà une intemporalité dans son caractère et une immanence dans son charme
En exergue de ce très beau disque, on pourrait reprendre la citation d'Arvo Part qui affirmait à Classica (en novembre 1999) : « Jouer une. seule note de musique avec beauté est suffisant. C'est le mystère de la musique .. ». Dominique Vasseur semble en effet s'être fixé la même ligne de conduite quand il tresse de délicates trames sonores sur Silence du seuil ou Il Sogno . dell'Allodola.
Sa recherche sonore passe globalement par trois groupes d'instruments: les vents (flûte à bec, clarinette, doudouk ... ), les cordes (violon, violoncelle) et les percussions (toms, congas, cymbales ou piano ... ). On croit ainsi découvrir le portrait sonore d'un être qui vit avec respectivement son souffle, sa tessiture nerveuse et son rythme cardiaque. Un être qui passe par des stades de méditation ou d'excitation, de questionnement ou d'exaltation.
Bref, une entreprise passionnante qui justifie indirectement le refus de toute organisation pesante en dessinant de constantes lignes de brisures sur des progressions impressionnantes (Silence du seuil, Vacarme du deuil ... ). On pense au Lux AEterna de Ligeti ou à certaines progressions « obliques» de Philippe Hersant. Nocturne aux anges est à ce titre remarquable, dévoilant une sorte de clairière sonore où l'on déniche un à un les instruments qui s'y logent. Mention aussi à Audi Coelum, lent bourdon hypnotisant utilisant bouteilles et casseroles en cuivre (!), manière d'affirmer sans doute que la beauté de la musique peut vraiment s'exprimer par tous les moyens ... Un disque qui possède déjà une intemporalité dans son caractère et une immanence dans son charme
"LIBERATION" "Widad"
C'est comme un jasmin qui pousserait sur les branches d'un saule, sans que jamais l'un ne se greffe sur l'autre. Habib Guerroumi chante et joue de l'oud arabo-andalou, Dominique Vasseur est flûtiste, spécialisé en musique ancienne et contemporaine, et compositeur. Le premier sait par coeur un répertoire non écrit. Le second est un pur produit des conservatoires occidentaux (Lille et Utrecht). La rencontre, permise par l'Année de l'Algérie en France, fut exigeante et déroutante pour les deux.
Le résultat est inouï, il s'appelle Widad, en arabe «l'émotion mêlée au désir». Entre le son pur des flûtes du Français et la voix tendre de l'Algérien, le bourdon du violoncelle, une contrebasse, une derbouka, on est pris d'envoûtement. ........
C'est comme un jasmin qui pousserait sur les branches d'un saule, sans que jamais l'un ne se greffe sur l'autre. Habib Guerroumi chante et joue de l'oud arabo-andalou, Dominique Vasseur est flûtiste, spécialisé en musique ancienne et contemporaine, et compositeur. Le premier sait par coeur un répertoire non écrit. Le second est un pur produit des conservatoires occidentaux (Lille et Utrecht). La rencontre, permise par l'Année de l'Algérie en France, fut exigeante et déroutante pour les deux.
Le résultat est inouï, il s'appelle Widad, en arabe «l'émotion mêlée au désir». Entre le son pur des flûtes du Français et la voix tendre de l'Algérien, le bourdon du violoncelle, une contrebasse, une derbouka, on est pris d'envoûtement. ........
"NEWLETTER Récital de Musique Contemporaine
du Ministère de la Culture" "
(DRAC Nord Pas de Calais)
Quels beaux itinéraires n’avons nous pas empruntés ce rude soir mouillé de décembre ; Parcours sous l'aile du vent, des brises, de tous les alizès : chemins d'ombre et de rêve suspendus entre nous et l'haleine d'un musicien les suggérant au gré de ses flûtes .......
Tout un monde lointain, né d’un souffle superbement maîtrisé : Merveilleux Dominique Vasseur.
En est il un seul au cœur de cette assemblée qui ait pu échapper à la fascination, à ce climat fragile et magique où le calme et la lumière judicieusement conjugués rendaient sereine la confidence.
Belles phrases linéaires ou anxieux halètement, longue tenue vibrée, espaces imprévisibles de dépaysement, d’exotisme ou d'oraison: cest selon.
Ce soliloque aux rageuses éructations, sonorités rompues, sons-silex aux angles vifs, n'étaient point sans humour, la parodie même un moment y allant de ses clins d'yeux ......
Je me suis surpris à revivre une même vibrante expérience d'il y a vingt ans. celle des Phrases sur le souffle de Claude Ballif .......
Une sorte d’enchantement, un voyage grâce auquel, si je n’ai pas appris ce que j’y cherchais au départ , j’ai su mieux ce que pour un soir j’avais fui .
du Ministère de la Culture" "
(DRAC Nord Pas de Calais)
Quels beaux itinéraires n’avons nous pas empruntés ce rude soir mouillé de décembre ; Parcours sous l'aile du vent, des brises, de tous les alizès : chemins d'ombre et de rêve suspendus entre nous et l'haleine d'un musicien les suggérant au gré de ses flûtes .......
Tout un monde lointain, né d’un souffle superbement maîtrisé : Merveilleux Dominique Vasseur.
En est il un seul au cœur de cette assemblée qui ait pu échapper à la fascination, à ce climat fragile et magique où le calme et la lumière judicieusement conjugués rendaient sereine la confidence.
Belles phrases linéaires ou anxieux halètement, longue tenue vibrée, espaces imprévisibles de dépaysement, d’exotisme ou d'oraison: cest selon.
Ce soliloque aux rageuses éructations, sonorités rompues, sons-silex aux angles vifs, n'étaient point sans humour, la parodie même un moment y allant de ses clins d'yeux ......
Je me suis surpris à revivre une même vibrante expérience d'il y a vingt ans. celle des Phrases sur le souffle de Claude Ballif .......
Une sorte d’enchantement, un voyage grâce auquel, si je n’ai pas appris ce que j’y cherchais au départ , j’ai su mieux ce que pour un soir j’avais fui .
"LA VOIX DU NORD" Récital de Musique Contemporaine
Même si les mots "musique contemporaine" provoquent chez vous des boutons, même si vos derniers concerts de musique actuelle vous ont défrisé à tout jamais. même si vous avez décidé de ne plus assister qu'aux concerts de valeurs sures, courez ce soir au palais des Beaux-Arts de Lille. dans une salle pratiquement jamais utilisée. pour assister à un Concert que l'on peut considérer, tout simplement. comme l'événement musical d'une morne saison......
Devant quarante personnes, pas plus (mais des vrais amateurs) Dominique Vasseur a offert une de ces soirées rares où la musique d'aujourd'hui, contrairement aux idées reçues, apparaît plus vivante que jamais. Dominique Vasseur est un musicien, cela n'a l'air de rien, mais ... Avec le théâtre du Fagotin, il a eu envie de présenter, presque en catimini, un répertoire parfaitement inconnu, celui des compositeurs japonais d'aujourd'hui et celui qu'il a eu lui-même envie de composer.
La flûte à bec, un instrument d'aujourd'hui? Et comment !
C'est le souffle minimal, la respiration. mais c'est aussi l'association avec les techniques contemporaines . C'est le souvenir du « shakuhachi ,. japonais et c'est enfin une mise en scène parfaitement au point. sans prétention, qui donne une large place au clin d'œil, à l'humour.
Pour l'une des pièces «Quinta Essentia», Vasseur s'entoure de quatre souffleurs de bouteilles. Cela ne pourrait être qu'une anecdote, dans l'esprit contemporain, Une singularité comme on aime à les retrouver. Il n'en est rien. En soufflant dans leurs bouteilles à moitié pleines ou à moitié vides, les «musiciens» apportent un soutien harmonique indispensable et qui se termine même par un accord parfait, derrière une mélodie des plus dassiques.
La fin de ce récital évoque le théâtre musical, et cela nous rassure sur l'avenir de l'art que pratiquent de simples passionnés pour lesquels Mauricio Kagel n'est pas plus important que Mozart, mais qui ne pensent qu'à une seule chose, la musique.
Même si les mots "musique contemporaine" provoquent chez vous des boutons, même si vos derniers concerts de musique actuelle vous ont défrisé à tout jamais. même si vous avez décidé de ne plus assister qu'aux concerts de valeurs sures, courez ce soir au palais des Beaux-Arts de Lille. dans une salle pratiquement jamais utilisée. pour assister à un Concert que l'on peut considérer, tout simplement. comme l'événement musical d'une morne saison......
Devant quarante personnes, pas plus (mais des vrais amateurs) Dominique Vasseur a offert une de ces soirées rares où la musique d'aujourd'hui, contrairement aux idées reçues, apparaît plus vivante que jamais. Dominique Vasseur est un musicien, cela n'a l'air de rien, mais ... Avec le théâtre du Fagotin, il a eu envie de présenter, presque en catimini, un répertoire parfaitement inconnu, celui des compositeurs japonais d'aujourd'hui et celui qu'il a eu lui-même envie de composer.
La flûte à bec, un instrument d'aujourd'hui? Et comment !
C'est le souffle minimal, la respiration. mais c'est aussi l'association avec les techniques contemporaines . C'est le souvenir du « shakuhachi ,. japonais et c'est enfin une mise en scène parfaitement au point. sans prétention, qui donne une large place au clin d'œil, à l'humour.
Pour l'une des pièces «Quinta Essentia», Vasseur s'entoure de quatre souffleurs de bouteilles. Cela ne pourrait être qu'une anecdote, dans l'esprit contemporain, Une singularité comme on aime à les retrouver. Il n'en est rien. En soufflant dans leurs bouteilles à moitié pleines ou à moitié vides, les «musiciens» apportent un soutien harmonique indispensable et qui se termine même par un accord parfait, derrière une mélodie des plus dassiques.
La fin de ce récital évoque le théâtre musical, et cela nous rassure sur l'avenir de l'art que pratiquent de simples passionnés pour lesquels Mauricio Kagel n'est pas plus important que Mozart, mais qui ne pensent qu'à une seule chose, la musique.
"DIAPASON" "Sonate , Canzoni e Madrigali diminuiti"
L' Ensemble Continuum paraît avoir réuni tous les atouts pour séduire les amateurs du baroque musical naissant. Autour d'un programme passionnant mêlant sonates virtuoses, canzoni et variations sur Vestiva i Colli de Palestrina et Ancor che col partire de CiprIano De Rore, il réunit mieux que cinq musiciens accomplis: cinq personnalités bien affirmées.
Dominique Vasseur, flûtiste à bec raffiné et sensible, s'impose aisément par ses interprétations pleines d'émotions à la flûte ténor (Sonata seconda de Kindermann). Freddy Eichelberger se distingue par ses réalisations généreuses au clavecin et à l'ottavino (petit clavecin transpositeur accordé une quinte plus haut), grâce à une ornementation foisonnante et à une vitalité rythmique qUi colorent et soulignent avec intelligence le discours.
Accompagné par Sophie Rétaux à l'orgue, son Vestiva original de Palestrina est un moment de pure poésie ......
Les partis pris d'interprétation sont touJours judicieux : prédilection pour un continua fourni, heureux alliages de timbres résultant d'une astucieuse répartition des voix (flûte à bec ténor dialoguant avec la basse d'orgue finement articulée, tandis que l'ottavino énonce la trame polyphonique de Vestiva i Colli pour les variations de Selma y Sala verde). La dimension théâtrale de cette musique riche en affetti variés est également mise en valeur: brutales ruptures, violents contrastes dynamiques, silences abrupts.
L' Ensemble Continuum paraît avoir réuni tous les atouts pour séduire les amateurs du baroque musical naissant. Autour d'un programme passionnant mêlant sonates virtuoses, canzoni et variations sur Vestiva i Colli de Palestrina et Ancor che col partire de CiprIano De Rore, il réunit mieux que cinq musiciens accomplis: cinq personnalités bien affirmées.
Dominique Vasseur, flûtiste à bec raffiné et sensible, s'impose aisément par ses interprétations pleines d'émotions à la flûte ténor (Sonata seconda de Kindermann). Freddy Eichelberger se distingue par ses réalisations généreuses au clavecin et à l'ottavino (petit clavecin transpositeur accordé une quinte plus haut), grâce à une ornementation foisonnante et à une vitalité rythmique qUi colorent et soulignent avec intelligence le discours.
Accompagné par Sophie Rétaux à l'orgue, son Vestiva original de Palestrina est un moment de pure poésie ......
Les partis pris d'interprétation sont touJours judicieux : prédilection pour un continua fourni, heureux alliages de timbres résultant d'une astucieuse répartition des voix (flûte à bec ténor dialoguant avec la basse d'orgue finement articulée, tandis que l'ottavino énonce la trame polyphonique de Vestiva i Colli pour les variations de Selma y Sala verde). La dimension théâtrale de cette musique riche en affetti variés est également mise en valeur: brutales ruptures, violents contrastes dynamiques, silences abrupts.
"TRAVERSIERES" "Concertos de Telemann"
….. les solistes sont irréprochables. Ces pages sont jouées ici superbement, avec des sonorités splendides et un bel élan rythmique. L’ensemble du disque se situe à un très haut niveau et le place aux côtés des meilleurs récitals de concertos pour instruments à vent de Telemann (Academy of Ancient Music, Musica Antiqua Köln …..)
….. les solistes sont irréprochables. Ces pages sont jouées ici superbement, avec des sonorités splendides et un bel élan rythmique. L’ensemble du disque se situe à un très haut niveau et le place aux côtés des meilleurs récitals de concertos pour instruments à vent de Telemann (Academy of Ancient Music, Musica Antiqua Köln …..)
"REPERTOIRE" "Concertos de Telemann"
« ….. Leurs interprétations font souvent preuve de goût, d’intelligence eet d’une grande qualité technique : on appréciera ici encore la beauté des coloris, la grande poésie et la douceur de l’académie ste cécile, le dynamisme n’est jamais forcé et la musique s’épanouit avec naturel et simplicité.
L’intégrité des musiciens transpqrait à chauqe note : pas d’effets de manche ni de raccolage, place à la musique. L’évidence des tempos et des phrasés permet une écoute continue sans effort ni lassitude…..
Un disque d’une grande pureté.
« ….. Leurs interprétations font souvent preuve de goût, d’intelligence eet d’une grande qualité technique : on appréciera ici encore la beauté des coloris, la grande poésie et la douceur de l’académie ste cécile, le dynamisme n’est jamais forcé et la musique s’épanouit avec naturel et simplicité.
L’intégrité des musiciens transpqrait à chauqe note : pas d’effets de manche ni de raccolage, place à la musique. L’évidence des tempos et des phrasés permet une écoute continue sans effort ni lassitude…..
Un disque d’une grande pureté.
"DIAPASON" "Concertos de Telemann"
… les différents solistes réunis par Philippe Couvert savent tirer parti, lui y compris, de la fête sonore offerte par Telemann, ornementations judicieuses à l’appui ……
… les différents solistes réunis par Philippe Couvert savent tirer parti, lui y compris, de la fête sonore offerte par Telemann, ornementations judicieuses à l’appui ……
"LA VOIX DU NORD" "Dans le Souffle des Ombres"
Compositeur imaginatif et novateur, le Nordiste Dominique Vasseur ne cherche pas la singularité à tout prix. Flûtiste de formation, versé tout autant dans la musique baroque que dans la création contemporaine, il offre avec Dans le souffle des ombres une série d'images sonores peuplées des instruments les plus divers, du doudouk arménien à la clarinette en roseau. Une invitation au rêve que l'on souhaiterait prolonger.
Compositeur imaginatif et novateur, le Nordiste Dominique Vasseur ne cherche pas la singularité à tout prix. Flûtiste de formation, versé tout autant dans la musique baroque que dans la création contemporaine, il offre avec Dans le souffle des ombres une série d'images sonores peuplées des instruments les plus divers, du doudouk arménien à la clarinette en roseau. Une invitation au rêve que l'on souhaiterait prolonger.
Marc David Calvet (Sous l'Opalétuvier) "DIDÄR" - La conférence des oiseaux
Un immense merci à Sajad Kiani et Dominique Vasseur de nous avoir ainsi conduit, par ce voyage initiatique inspiré de "La Conférence des Oiseaux" de Farid al-Din »Attar, au-delà de nos zones habituelles de confort. C’est là l’essence profonde de ce conte : si nous avons la force d’abandonner ce qui nous semble rassurant et confortable, nous accédons alors à une authentique connaissance de notre moi profond.
Si nous quittons ce qui nous aveugle, alors la vraie vision des choses nous est offerte. Si nous nous éloignons de ce que nous voyons, entendons nous avons accès au mystère des choses et des êtres. Mercredi dernier, vous nous avez donné à entendre le coeur battant de cette philosophie soufie aux valeurs universelles.
Magnifique démarche de création non seulement par vos instruments respectifs (setâr et flûtes) mais par ce bouquet changeant de plumages sonores poétiquement agencé. Un choeur de volatiles aux mille couleurs qui nous a pris par la main jusqu’à la découverte intime du Simorgh.
C’est là l’esprit de notre association Sous l’Opélétuvier : de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace !
Si nous quittons ce qui nous aveugle, alors la vraie vision des choses nous est offerte. Si nous nous éloignons de ce que nous voyons, entendons nous avons accès au mystère des choses et des êtres. Mercredi dernier, vous nous avez donné à entendre le coeur battant de cette philosophie soufie aux valeurs universelles.
Magnifique démarche de création non seulement par vos instruments respectifs (setâr et flûtes) mais par ce bouquet changeant de plumages sonores poétiquement agencé. Un choeur de volatiles aux mille couleurs qui nous a pris par la main jusqu’à la découverte intime du Simorgh.
C’est là l’esprit de notre association Sous l’Opélétuvier : de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace !
Thierry Leroux (Tribune d'Artistes) "Didâr" avec Olivier camelin
Le concert Didâr à la Cathédrale de Saint-Omer hier soir a projeté un large public attentif et charmé dans un incroyable voyage onirique, entre Orient et Occident, bravo et merci à Dominique Vasseur, Olivier Camelin et Sajad Kiani pour ce voyage hors du temps. On en redemande...
5 préludes au silence fragment